Infirmière depuis de nombreuses années, être au contact de l’autre, aller à sa rencontre est pour moi une vraie source d’enrichissement.
Convaincue des bienfaits de la sophrologie, j’ai décidé de me former au métier de sophrologue.
Cet autre métier de la relation d’aide, complémentaire à ma formation initiale.
J’ai ainsi obtenu mon titre de sophrologue délivré par l’Ecole Française de Sophrologie de Montpellier.
Bien loin de se résumer à de la détente, la sophrologie est une invitation à aller à la rencontre de soi-même, à mobiliser ses ressources.
Ce cheminement nourri de questionnements et d’expériences s’opère grâce à l’implication personnelle et la répétition des techniques sophrologiques.
C’est dans une relation d’égal à égal, basée sur la confiance et la responsabilité de chacun que je vous propose de vous accompagner sur ce chemin.
✓ Diplômée de l’Ecole Française de Sophrologie de Montpellier
✓ Titulaire du titre de sophrologue délivré par la Fédération des Ecoles Professionnelles en Sophrologie (FEPS)
✓ Titre inscrit au Répertoire National des Certifications Professionnelles (RNCP) avec un niveau de qualification III reconnu par l’Etat
✓ Titulaire du Diplôme d’Etat Infirmier
Le rôle du sophrologue est d’accompagner avec empathie dans une démarche autonome favorisant l’expérience de la personne.
Quel que soit la demande, le sophrologue va établir une collaboration et accompagner une personne vers ses objectifs.
Pour cela, il met à disposition une démarche, des exercices dont chacun pourra user librement en étant toujours l’acteur de son cheminement.
Mais plus qu’à l’histoire ou aux difficultés d’une personne, le sophrologue va s’intéresser à sa façon actuelle de vivre les choses, ce qu’elle ressent, ce qu’elle dit, ce qu’elle fait, ce qu’elle souhaite. C’est ce qu’on appelle l’approche centrée sur la personne.
C’est pourquoi un sophrologue ne cherche pas à interpréter des symptômes, des ressentis, des vécus.
Il ne s’intéresse pas à l’inconscient et ne cherche par exemple aucunement à faire remonter des expériences vécues refoulées.
Dans le sens où un sophrologue n’est pas une sorte de guide ou de coach qui donnerait des conseils, des réponses toutes faites, des solutions tracées, ni pour dire ce qui lui semblerait bien ou mal que ce soit dans les choix possibles, les actes, les idées ou les valeurs d’une personne.
Un sophrologue partira toujours de l’idée qu’une personne sait ce qui est bon pour elle et l’invitera donc en permanence à donner son avis sur le choix des exercices, la démarche entreprise, son vécu, les résultats obtenus.
C’est une relation d’adulte à adulte, une collaboration basée sur la confiance et la responsabilité de chacun que l’on nomme l’alliance.
Afin de favoriser l’autonomie, tout l’art du sophrologue va être d’accompagner avec empathie et bienveillance.
Cela consiste à voir en priorité les qualités d’autrui, à être proche de l’autre, à l’écouter dans une disponibilité et une ouverture.
Le sophrologue adoptera une attitude la plus neutre possible en évitant les jugements et les projections.
Code de déontologie
A savoir
La profession de sophrologue n’étant pas réglementée, il existe toutes sortes de formation à ce métier, il est donc essentiel de s’informer précisément de la formation suivie par le sophrologue que vous souhaitez consulter afin de s’assurer qu’elle correspond à vos attentes: programme de la formation, qualifications des formateurs, nombre de journées de formation, etc.
La formation que j’ai suivie à l’École Française de Sophrologie, organisme de formation professionnelle continue, membre de la Fédération des Écoles Professionnelles en Sophrologie, garantie plus de 1000 heures de formation sur 2 années avec un minimum de 400 heures présentielles (critères propre à la FEPS). Cette formation garantie également que votre sophrologue a signé un code d’éthique et de déontologie qu’il s’engage à respecter.
Prendre rendez-vous